Paris 1889. Ville brumeuse où l’Exposition universelle bat son plein et où survolent les aéroscaphes, d’étranges machines volantes, et marchent des nuées d’automates cuivrés.
Dans cet univers révolutionné par l’éther, substance aux propriétés miraculeuses, Margaret essaie de résoudre le mystère qui entoure le meurtre de sa meilleure amie, tombée d’un aérocar en vol. Se lançant sur la piste d’un créateur de robots dément, elle va découvrir un Paris caché. Car dans l’ombre, une guerre secrète oppose magiciens, héritiers de la féerie du Moyen-âge, et scientifiques dévorés par l’ambition.
(Re)publié durant le Mois du Cuivre de Bragelonne, Confessions d’un automate mangeur d’opium est un roman écrit à quatre mains par deux maîtres du genre, Fabrice Colin (Winterheim) et Mathieu Gaborit (Les Crépusculaires).
Savant mélange de steampunk et de roman policier, ce bijou d’originalité et de virtuosité littéraire est un véritable manifeste du mouvement steampunk.
L’objet est quant à lui superbe (bords arrondis, tranche dorée pour un effet cuivre des plus réussis et une couverture à couper le souffle).
Un must-have pour tout amateur d’un sous-genre à part entière.
PS : Si vous aimez ce genre de littérature, ruez-vous sur Le Guide Steampunk par Athur Morgan et Etienne Barillier. Publié chez ActuSF, ce petit guide de l’imagerie steampunk dresse un état des lieux complet de cette culture à travers la littérature, mais aussi le cinéma et la bande dessinée.
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